L'Espace avenir déploie tout un arsenal d’outils pour aider à l’orientation et à l’insertion professionnelle des étudiants. Le point avec Dominique Philippe, le directeur du service depuis le 28 octobre 2013.
Cela fait dix mois que vous dirigez ce service. Comment ça se passe ?
Très bien. Ce poste est tout à fait passionnant. L'Espace avenir, qui compte 23 personnels et quatre chargés de missions Idex, a une large palette d’activités dans les domaines de l’orientation et de l’insertion : information sur les filières et les métiers, accompagnement aux choix d’orientation – ou de réorientation, j’insiste sur cette notion ! – conseil, préparation à l’insertion, mise à disposition de ressources. Pour informer les lycéens, nous intervenons dans les établissements et nous organisons aussi des événements comme les Journées des universités (JU). Pour les étudiants, de nombreuses manifestations ponctuelles se déroulent tout au long de l’année, dont certaines spécifiques aux jeunes chercheurs.
Vous avez insisté sur la réorientation, pourquoi ?
Cette problématique est un enjeu majeur pour l’université. Car nous n’en sommes plus à corriger de petites erreurs de trajectoire d’étudiants en première année de licence ; aujourd’hui, il y a un véritable flux d’étudiants qui sont en réelle interrogation sur leur parcours et leur projet, ou qui n’ont pu intégrer la filière qu’ils souhaitaient. Si cette problématique a toujours existé, elle gagne en volume et en acuité. Cela complexifie beaucoup le travail de nos conseillers, qui engagent fréquemment un suivi individualisé à l’issue d’un premier contact.
Vous avez indiqué vouloir articuler au mieux les missions du service avec le programme Investissements d’avenir (L’Actu n°84 du 13 décembre 2013). Qu’en est-il ?
Notre service porte actuellement quatre Initiatives d’excellence (Idex). La première consiste à promouvoir et valoriser les formations franco-allemandes proposées par l’Université de Strasbourg, lors de salons extérieurs notamment. L’Idex Insertion professionnelle a pour objectif d’accentuer l’ouverture au monde socio-économique et de promouvoir les formations par apprentissage. Nous pilotons aussi l’Idex Entrepreneuriat étudiant. Enfin, nous venons de lancer l’Idex Réussite étudiante. Tous ces axes, en lien avec notre cœur de métier, mobilisent désormais fortement le service.
Des interactions fortes existent avec les composantes de l’université. Vous souhaitez aller plus loin ?
Nos conseillers interviennent dans les composantes notamment pour les unités d'enseignement de préparation au projet professionnel mais aussi pour sensibiliser et former les enseignants. Nous sommes là en appui des composantes mais en aucun cas pour nous substituer à elles. Le 3 octobre, nous allons d’ailleurs organiser une matinée de sensibilisation à la thématique Insertion professionnelle. A cette occasion, nous aimerions activer un véritable réseau de référents et ainsi créer une communauté de bonnes pratiques et travailler de manière transversale.
L'Espace avenir collabore avec de nombreux acteurs extérieurs mais vous aimeriez développer davantage ces partenariats. Comment ?
J’ai le sentiment que les étudiants ont une idée souvent réductrice du monde professionnel ; à l'Espace avenir, nous devons donc nous connecter le mieux possible et de manière permanente avec tout l’environnement socio-économique de l’étudiant. Dans cette optique, nous allons mettre en place, en partenariat avec une vingtaine de représentants des différents secteurs professionnels, un nouveau dispositif qui vise à ouvrir les étudiants à de nouveaux environnements. Cela débutera en janvier prochain par un forum et nous poursuivrons avec des permanences ponctuelles ainsi que des ateliers d’aide à la construction du projet personnel et professionnel.
Je souhaite également conforter le partenariat avec les collectivités territoriales, dans une même logique de décloisonnement.
Je suis en effet convaincu que de fortes interactions entre l’université et son environnement, au sens large du terme, sont un élément essentiel d’une politique d’orientation et d’insertion des étudiants.
Propos recueillis par Floriane Andrey
L’association étudiante Médiadroit et l’Association sportive de l’Université de Strasbourg organisent, vendredi 19 septembre, la Runistra. Cette course inédite au cœur du campus Esplanade est ouverte à toute la communauté universitaire sur inscription.
« Plus qu’un challenge sportif, c’est un moment convivial que nous proposons », confie Bertrand Hirtz, membre de l’association Médiadroit. Depuis deux ans, la jeune association organise des entraînements pour les courses de Strasbourg auxquelles les étudiants en droit participent avec leurs homologues notaires. « Dans cette optique de rassembler des personnes de divers horizons, nous avons décidé de créer un événement propre à l’université. » Toute la communauté universitaire, étudiants et personnels, est donc invitée à s’inscrire pour participer à la Runistra vendredi 19 septembre. 200 personnes pourront prendre le départ de la course à 12 h 20 de la place d’Athènes, derrière la Faculté de droit. Les participants suivront ensuite un parcours balisé de quelque quatre kilomètres sur le campus en pleine transformation.
« Avec cette course, nous espérons fédérer la communauté universitaire autour d’un événement qui sort de l’ordinaire mais nous souhaitons aussi donner la possibilité à chacun de découvrir et/ou de pratiquer ce sport à l’université », explique Bertrand.
Fernand Kolbeck, parrain de l'événement
Pour les organisateurs, la Runistra, « la course de l’UniVertcité », sera aussi l’occasion de faire découvrir, de manière originale, le nouveau campus « vert et ouvert » qui est en train de prendre forme actuellement.
La Runistra bénéficie du concours d'une figure locale de l'athlétisme, Fernand Kolbeck, actuel entraîneur de l'ASL Robertsau et ancien champion de France de marathon. Parrain de l’événement, il sera présent sur le parcours pour donner, comme à son habitude à l'aide d’un mégaphone, le départ, les temps de passage et le temps d'arrivé des participants.
Les coureurs peuvent participer en groupe ou individuellement : un courriel d’information leur sera envoyé dès validation de leur inscription. Ils auront accès aux vestiaires du Suaps pour déposer leurs affaires pendant la course et se doucher après. Les trois premiers de chaque catégorie (groupe, individuels hommes et individuels femmes) seront récompensés et un verre de l’amitié sera offert à l’issue de la course.
F.A.
Après presqu’un an de travaux, l’aménagement du parc central, dans le cadre de l’Opération campus, continue sa progression. Des espaces verts apparaissent peu à peu sur le campus Esplanade.
Le slogan « Des campus plus verts et plus ouverts », ligne directrice des concepteurs du projet, commence à prendre forme sur le parc central. Peu à peu, le marron de la terre laisse place au vert des espaces végétalisés, notamment aux abords du Nouveau Patio, du Patio et de la Faculté de droit. « Dans cette zone, reste à installer le mobilier urbain et à planter les arbres de haute tige pendant la période hivernale », précise Brahim Doughouas, en charge du projet. Les fosses d’arbres avec une terre spéciale ont déjà été réalisées à l’endroit des plantations pour les accueillir. Les semis, pour les parterres fleuris et le gazon, se feront au fur et à mesure de l’avancement du chantier et notamment en fonction de la météo.
Sur la rue Blaise-Pascal, la zone située entre l’entrée nord du campus (côté boulevard de la Victoire) et l’ancien parvis de la Faculté de droit est finalisée côté chimie, en dehors des espaces verts. Côté Institut Le Bel, l'enrobé des cheminements reste pour l’instant volontairement noir ; il sera recouvert par un liant végétal (comme c’est déjà le cas devant le Patio) pendant le mois d’octobre si les températures ne sont pas trop basses. « On voit nettement apparaître deux grandes places sur le campus : celle de l’entrée nord et la place principale à l’angle des bâtiments de chimie, de droit et de l’Institut de physiologie et de chimie biologique (IPCB) », souligne Brahim Doughouas.
Les abords de l’IBMC et de l’UFR Maths-info bientôt aménagés
Aujourd’hui, les travaux se concentrent devant l’IPCB. L’ancien parvis du bâtiment a disparu au profit d’un aménagement plus végétal. Les travaux se poursuivront devant l’Institut de biologie moléculaire et cellulaire (IBMC) dans les semaines à venir. Un parvis en granit va être réalisé comme pour les autres bâtiments ; des cheminements et des espaces verts seront aménagés. Les abords de l’UFR de mathématiques et d’informatique, où les herbes folles foisonnent actuellement, vont aussi faire l’objet de travaux au dernier trimestre 2014.
Sur la rue René-Descartes, l’ancien parking privatif a disparu comme annoncé dans L’Actu n°94 du 4 juillet 2014. Les nouvelles bornes d’accès ont été installées à l’entrée de la rue ; le parking est ouvert aux usagers mais son aménagement est provisoire. Il sera retravaillé en 2015 lors des dernières phases du chantier.
Enfin, devant l’Insa, la cour anglaise a été finalisée et le trottoir a triplé en largeur. Des arceaux à vélos seront installés au-dessus de la cour anglaise d’ici la fin de l’année et le parvis du bâtiment va être étendu en lieu et place de l’ancien parking de l’Insa. Du mobilier urbain sera installé, un petit amphithéâtre extérieur sera créé devant la bibliothèque et des espaces verts viendront agrémenter le parvis.
F.A.
L'Université de Strasbourg a inauguré lundi 8 septembre son premier Mooc1. Fruit d'un travail conjoint entre la Direction des usages du numérique2 et l'UFR de mathématiques et d'informatique3, il porte sur un sujet mathématique pointu : « l'optimisation stochastique évolutionnaire » (OSÉ).
Malgré un intitulé sybillin, 900 personnes se sont déjà inscrites à cette première formation en ligne ouverte à tous. Derrière « l'optimisation stochastique évolutionnaire » se cache une approche mathématique inspirée de la nature et utilisée pour résoudre des problèmes difficiles du monde réel tels que la conception d'un avion ou l'optimisation des tournées de livraison. Les objectifs de cette formation sont de donner des clés pour comprendre le fonctionnement des algorithmes évolutionnaires, et savoir quand et comment les utiliser pour trouver des solutions innovantes et créatives pour des problèmes qui concernent souvent le monde de l'industrie.
Ce Mooc s'adresse plus particulièrement aux décideurs, ingénieurs, scientifiques, mathématiciens et informaticiens. Mais, conformément au principe d'ouverture qui préside à ce type de dispositif de formation, l'inscription est accessible à tous sur la plate-forme nationale France Université Numérique (FUN), via une simple adresse de courriel, jusqu'au 9 novembre, date à laquelle s'achève la formation.
« Peser les avantages et les inconvénients »
Ce Mooc est-il le premier d'une longue série pour l'université ? La réponse de François Gauer, vice-président délégué aux pratiques pédagogiques, va dans le sens d'une appropriation raisonnée de ces nouveaux outils de formation. « Les Mooc sont souvent mentionnés dans les médias comme l'innovation pédagogique à ne pas manquer. L’Université de Strasbourg, dans ses missions essentielles, est là pour innover et initier le futur en terme de transmission de connaissances mais elle se doit d'étudier avec attention tous les nouveaux outils, d'analyser et peser leurs avantages et inconvénients. En ce qui concerne les Mooc, de nombreuses questions ne trouvent pas de réponses immédiates et évidentes. Les modèles économiques qui sous-tendent leur fonctionnement, les modalités d'évaluation des connaissances et des conditions de délivrance de diplômes ou de certification, la formation des enseignants-chercheurs à leur utilisation sont autant de sujets sur lesquels nous devons avoir une réflexion approfondie. Pour l'instant, l'université a donc souhaité se limiter à quelques expériences comme par exemple le Mooc initié par le professeur Pierre Collet dans un domaine mathématique très approfondi. »
D'autres Mooc sont en préparation, notamment dans le cadre des Initiatives d'excellence (Idex), mais l'heure n'est pas à leur développement tous azimuts. Ces projets sont avant tout l'occasion pour l'université d'engranger de nouvelles compétences et de bénéficier de précieux retours d'expériences. L'analyse qui en découlera permettra de maîtriser leur fonctionnement et de les utiliser à leur plein potentiel.
Edern Appéré
1 Massive open online courses : formation en ligne ouverte à tousPour chaque numéro de L’Actu, vous êtes nombreux à nous envoyer vos propositions d'articles pour nourrir ce journal et lui permettre d'être le plus exhaustif possible dans sa mission de diffusion de l'information. Jusqu’à présent la date limite pour envoyer vos textes pour parution dans L’Actu était fixée au mercredi midi précédant la publication.
Suite à la réorganisation du service et pour une meilleure organisation du bouclage du journal, nous avons décidé d’avancer la date limite d’envoi pour vos contributions. Désormais, et ce à partir du numéro qui paraîtra le vendredi 26 septembre 2014, merci d’envoyer vos articles avant le mardi midi (soit le mardi 23 septembre à midi pour le prochain numéro).
Il n’existe pas 36 000 solutions pour faire face à une situation financière tendue, marquée par une baisse des ressources et une augmentation des charges fixes : il faut faire des économies. Un groupe de travail piloté par Jean Pieri, directeur général adjoint aux ressources, vient de terminer l’élaboration d’une « charte pour un achat public raisonné », un mode d’emploi pour nous aider à acheter mieux.
« Nous estimons à 700 000 euros par an la marge d’économies possible à l’université en adoptant une autre manière d’acheter, plus économe, plus mesurée mais appliquant des règles de bon sens plutôt simples », explique Jean Pieri. Il a piloté un groupe de travail composé de membres des directions des finances, du patrimoine immobilier, de la recherche, de l’agence comptable, des services des affaires juridiques et de l’audit interne, qui a élaboré un « mode d’emploi » de l’achat public à destination de tous les membres de la communauté universitaire susceptibles d’acheter pour le compte de l’institution. « Au-delà des économies que l’on attend de l’application de cette charte, nous l’avons construite pour offrir un service à l’utilisateur, et nous espérons qu’elle aidera chacun à mieux comprendre et accepter la logique spécifique de l’achat public. »
Des préconisations très concrètes
Dans cette charte, on trouve donc toutes les informations utiles avant de réaliser un achat : des objectifs généraux de la politique d’achat de l’établissement à sa déontologie, de ses acteurs à ses indicateurs en passant par les outils, les contrôles, etc. Et pour finir, une série de fiches thématiques fait le point et donne des orientations très concrètes sur des groupes de dépenses courantes : déplacements, restauration, téléphonie mobile, communication, informatique, recours à des consultants extérieurs. « Nous sommes partis des types de dépenses pour lesquels la préconisation était simple à mettre en place : voyager en deuxième classe, modérer ses frais de restauration, ne pas changer de matériel informatique ou de téléphonie trop souvent, éteindre les lumières en quittant son bureau. D’autres groupes de dépenses seront plus difficiles à encadrer, techniquement en tous cas. C’est pourquoi le groupe de travail va poursuivre sa mission », conclut Jean Pieri.
C.L.
A l’Université de Strasbourg comme dans beaucoup d’institutions et d’entreprises, on a tendance à organiser facilement des réunions à tous propos, sans toujours se poser assez clairement la question de la nécessité de la démarche, ni de son efficience. Il existe aujourd’hui un « guide pratique » qui se propose de nous aider à mieux « réussir une réunion ».
Suite à un séminaire des cadres universitaire en octobre 2013, un groupe de travail s’est constitué pour réfléchir au bon usage des réunions dans l’institution. C’est Edouard Manini, directeur de l’Opération Campus, qui a assuré la coordination de ce groupe. « On est parti d’un constat simple : quand on analyse la situation actuelle, il y a un sentiment d’insatisfaction sur la question des réunions. Trop de temps passé, des attentes qui ne sont pas toujours assez clairement exprimées, parfois des redondances dans les sujets traités, parfois aussi un relatif manque d’efficience. En listant les éléments qui pourraient permettre d’améliorer la situation, nous avons eu l’idée de formaliser cet ensemble de préconisations sous la forme d’un petit guide pratique, qui tient en une page. »
Ce guide est désormais disponible. Il donne un mode d’emploi et quelques conseils sur la manière de préparer, de mener, d’organiser et de donner suite à une réunion de manière à ce que chaque participant ait le sentiment que ce temps de travail a été bien investi, que la réunion a fait avancer le dossier, que chacun a été entendu et sait ce qu’il doit faire suite à ce qui a été décidé. Bref, pour que la réunion soit plus efficace et opportune !
C.L.
Pendant les congés estivaux, de nombreux ouvriers se sont activés çà et là sur les différents campus de l’Université de Strasbourg.
Le musée zoologique sécurisé
Le musée zoologique, fermé depuis le 19 mai dernier, a rouvert ses portes lundi 1er septembre. Des travaux de mise en sécurité incendie ont été effectués avec l'installation de portes coupe-feu pour compartimenter les différentes salles d'exposition. Si les espaces d'enseignement sont restés ouverts pendant les travaux, ils ont tout de même bénéficié d’un rafraîchissement. Le hall d’entrée et les couloirs ont été refaits ainsi que le sol de l’amphithéâtre Bataillon. Ces travaux ont été financés dans le cadre de l'Opération campus.
Des sorbonnes remplacées à l’ECPM
Le système d’extraction d’air des sorbonnes du bâtiment R2 de l’Ecole de chimie, polymères et matériaux (ECPM) de Strasbourg a été remplacé cet été pour assurer la sécurité des chercheurs. Les sorbonnes servent, en effet, à extraire les vapeurs des produits toxiques et ainsi, à protéger le manipulateur et l’environnement. Deux autres bâtiments de l’école doivent aussi faire l’objet du même genre de travaux.
Les plafonds rénovés dans le hall de l’Institut Le Bel
La partie centrale du hall d’accueil de l’Institut Le Bel ayant été rénovée il y a quelques mois dans le cadre de l’Opération campus, il fallait poursuivre avec les couloirs vitrés menant aux amphithéâtres. Les peintures ont été refaites et un nouvel éclairage à LED a été installé pour permettre un meilleur accueil des étudiants.
Le hall d'accueil réaménagé à la Faculté de pharmacie
Les travaux du hall de la Faculté de pharmacie ont débuté en octobre dernier mais ils se sont intensifiés cet été. L’entrée principale du bâtiment a été fermée pour pouvoir retravailler le nouvel accueil, créer un sas avec deux séries de portes pour améliorer le confort thermique et agrandir le hall de près de 120 mètres carrés. Si les usagers peuvent profiter des nouveaux aménagements depuis le 1er septembre, tous les travaux devraient être finalisés d’ici début octobre. Un spot numérique et des vitrines d’exposition seront installés dans le hall.
Des sanitaires repensés au Palais U et à la Faculté de droit
Pour favoriser leur accès aux personnes à mobilité réduite (PMR), les sanitaires du rez-de-chaussée du Palais U et du 5e étage de la Faculté de droit font l’objet de travaux. Il s’agit d'avoir du côté hommes et du côté femmes, une cabine de toilette et des lavabos accessibles aux PMR. Les travaux devraient bientôt être terminés.
F.A.
09/2014 | 10/2014 | 11/2014 | |
---|---|---|---|
<strong>Conseil académique</strong> 14 h - Mardi | 30 | / | / |
<strong>Conseil d'administration - CA</strong> 14 h - Mardi | 16 | 7 | / |
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong> 14 h - Mardi | 23 | 14 | 4 |
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong> 14 h 30 - Mercredi | / | 1 | 5 |
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong> 14 h 30 - Mardi | / | 21 | 18 |
<strong>Conférence des directeurs des unités de recherche</strong> 10 h - Mercredi | / | 8 | 26 |
<strong>Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux</strong> 9 h - Lundi | 15 | / | 3 |
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mardi 23 septembre midi pour une parution le vendredi 26 septembre 2014. Consultez les dates des prochains numéros.